Marathon du Mont Blanc : Kilian Jornet explose les records et s’impose en maître


Il est arrivé, il a couru, et il a triomphé ! Ce dimanche, Kilian Jornet a une fois de plus démontré pourquoi il est une légende vivante du trail. Après avoir dominé l’épreuve du kilomètre vertical, l’Espagnol a remporté avec éclat le marathon du Mont Blanc, ajoutant ainsi un nouvel exploit à son palmarès impressionnant.

Jornet a bouclé les 42 km de ce parcours mythique en 3h38, pulvérisant de 14 minutes le précédent record établi par le Suisse Jean-Yves Rey. À l’arrivée, Kilian a adressé une pensée émue à son ami Stéphane Brosse, disparu tragiquement dans le massif de l’aiguille d’Argentière une semaine plus tôt. Un hommage touchant qui souligne la dimension humaine de cet athlète hors norme.

Un podium de haut niveau

Derrière l’intouchable Jornet, l’Espagnol Tofol Castanyer s’empare de la deuxième place en 3h45, suivi de Greg Vollet qui complète le podium avec un temps de 3h52. Nicolas Pianet, vainqueur de l’édition précédente, termine à une belle 4ᵉ place, prouvant qu’il peut rivaliser avec les meilleurs. Le top 7 est complété par Tom Owens, Yoan Meudec et Raymond Fontaine, qui s’était classé 2ᵉ en 2011.

Dans le reste du classement, on note les belles performances de Thibaut Baronian, 9ᵉ, et d’Arnaud Perrignon, 11ᵉ. Sacha Devillaz, coureur local de Haute-Savoie, termine à la 16ᵉ place avec satisfaction : « Certainement ma meilleure course de la saison jusqu’à maintenant. » Mention spéciale également à El Yazid El Madi, qui décroche la 17ᵉ place.

Chez les dames, Maude Mathys impériale

Du côté des femmes, Maude Mathys s’illustre en franchissant la ligne d’arrivée en 4h28, battant de 11 minutes le record de Stéphanie Jimenez. Derrière elle, Silvia Serafini (4h33) et Maude Gobert (4h39) complètent un podium relevé.

Pour les résultats complets, rendez-vous sur le site officiel de l’épreuve.

Marathon du Mont Blanc : Kilian Jornet explose les records et s’impose en maître

Il est arrivé, il a couru, et il a triomphé ! Ce dimanche, Kilian Jornet a une fois de plus démontré pourquoi il est une légende vivante du trail. Après avoir dominé l’épreuve du kilomètre vertical, l’Espagnol a remporté avec éclat le marathon du Mont Blanc, ajoutant ainsi un nouvel exploit à son palmarès impressionnant.

Jornet a bouclé les 42 km de ce parcours mythique en 3h38, pulvérisant de 14 minutes le précédent record établi par le Suisse Jean-Yves Rey. À l’arrivée, Kilian a adressé une pensée émue à son ami Stéphane Brosse, disparu tragiquement dans le massif de l’aiguille d’Argentière une semaine plus tôt. Un hommage touchant qui souligne la dimension humaine de cet athlète hors norme.

Un podium de haut niveau

Derrière l’intouchable Jornet, l’Espagnol Tofol Castanyer s’empare de la deuxième place en 3h45, suivi de Greg Vollet qui complète le podium avec un temps de 3h52. Nicolas Pianet, vainqueur de l’édition précédente, termine à une belle 4ᵉ place, prouvant qu’il peut rivaliser avec les meilleurs. Le top 7 est complété par Tom Owens, Yoan Meudec et Raymond Fontaine, qui s’était classé 2ᵉ en 2011.

Dans le reste du classement, on note les belles performances de Thibaut Baronian, 9ᵉ, et d’Arnaud Perrignon, 11ᵉ. Sacha Devillaz, coureur local de Haute-Savoie, termine à la 16ᵉ place avec satisfaction : « Certainement ma meilleure course de la saison jusqu’à maintenant. » Mention spéciale également à El Yazid El Madi, qui décroche la 17ᵉ place.

Chez les dames, Maude Mathys impériale

Du côté des femmes, Maude Mathys s’illustre en franchissant la ligne d’arrivée en 4h28, battant de 11 minutes le record de Stéphanie Jimenez. Derrière elle, Silvia Serafini (4h33) et Maude Gobert (4h39) complètent un podium relevé.

Pour les résultats complets, rendez-vous sur le site officiel de l’épreuve.


C’est toujours un plaisir pour moi de suivre cette course mythique, et je me souviens de l’excitation que j’ai ressentie en y assistant pour la première fois. Une année, j’ai même eu la folie de m’inscrire à une épreuve plus courte lors de l’événement, un trail de 10 km. Ce n’était pas comparable aux performances des élites, bien sûr, mais j’ai pu goûter à l’ambiance unique de ce rendez-vous au pied du Mont Blanc. Depuis, je suis chaque édition avec admiration et un petit pincement de nostalgie !


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